C’est ce que vous permet la retraite progressive, dès 60 ans.

Si vous êtes à temps plein et que votre employeur est d’accord pour vous passer à temps partiel, vous allez pouvoir compenser en partie votre perte de revenu par le versement d’une retraite dite « progressive ».

Il s’agit d’une fraction de vos pensions de retraite qui vous sera accordée proportionnellement à votre temps de travail – par exemple, à hauteur de 50% si vous passez à mi-temps.

Cette fraction de pension ne sera pas considérée comme un acompte à déduire ensuite sur votre retraite définitive, loin de là. Au contraire, pendant toute votre période d’activité réduite, vous pourrez continuer à acquérir des droits (trimestres et points) pour améliorer votre future retraite.

A temps partiel, il vous sera même possible de cotiser sur la base d’un temps plein –  là encore si votre employeur est d’accord.

Ce système vous offre donc la possibilité de partir en douceur, sans trop impacter votre niveau de vie ni vos futurs droits à retraite.

Il vous permet en outre de « surcoter » et de faire disparaître le malus qui existe en retraite complémentaire AGIRC/ARRCO depuis 2019 (- 10% pendant les 3 premières années de retraite si vous ne reportez pas votre départ d’un an après obtention du taux plein).

Et pour l’entreprise, l’enjeu : faire passer le relai entre collaborateurs dans les meilleures conditions et/ou réduire ses charges. Beaucoup d’avantages , donc …

Le nec plus ultra

Si vous êtes déjà à temps partiel, n’hésitez pas à saisir l’ASSURANCE RETRAITE sans délai !

Rien à demander à votre employeur, aucun changement au niveau de votre contrat de travail … juste à l’arrivée une partie de votre retraite qui vous sera versée et qui vous permettra d’augmenter vos revenus d’autant. Alors, pourquoi s’en priver ? Très intéressant à faire dès 60 ans .

Pour vérifier si vous êtes éligible au dispositif, cliquez-ici